(You can choose or or both)

Thursday, October 08, 2015

Church ... Eglise

Excellent citation via Internet Monk:
"Je ne peux pas fournir les solutions que les leaders de l'église recherchent, mais je peux articuler les questions que beaucoup de ma génération se posent. Je peux traduire une partie de leur angoisse, une partie de leur espoir.

Au moins voilà ce que j’ai essayé de faire quand on m'a récemment demandé d'expliquer à trois mille animateurs de jeunesse évangéliques réunis pour une conférence à Nashville, Tennessee, pourquoi les ‘Génération Y’ comme moi quittent l'église.

Je leur ai dit que nous sommes fatigués des guerres de la culture, fatigué du christianisme qui s’emmêle avec la politique et le pouvoir. Les Génération Y veulent être connu par ce que nous sommes
pour, j'ai expliqué, et pas seulement par ce que nous sommes contre. Nous ne voulons pas être contraints de choisir entre la science et la religion ou entre notre intégrité intellectuelle et notre foi. Au lieu de cela, nous aspirons à ce que nos églises soient des endroits où on peut douter en sécurité, poser des questions et dire la vérité, même quand il met mal à l'aise. Nous voulons parler de choses difficiles - l'interprétation biblique, le pluralisme religieux, la sexualité, la réconciliation raciale et la justice sociale - mais sans conclusions prédéterminées ou des réponses simplistes. Nous voulons apporter notre moi entière à l'église, sans devoir laisser nos cœurs et nos cerveaux derrière, sans porter un masque.

Je leur ai expliqué que quand nos amis gays, lesbiennes, bisexuels, transgenres ne sont pas les bienvenus à table, alors nous ne nous sentons pas les bienvenus non plus, et que pas tout le se marie ou a des enfants, donc nous avons besoin d'arrêter la construction de notre églises autour de catégories et commencer à les construire autour des gens. Et je leur ai dit que, contrairement à la croyance populaire, nous ne pouvons pas être regagnée avec des groupes de louange plus cools, des cafés chics, ou des pasteurs qui portent des jeans serrés. On nous bombarde de pub depuis notre naissance, et on sait reconnaître la foutaise à des kilomètres loin. L'église est le dernier endroit où nous voulons qu’on nous vende un autre produit, le dernier endroit où nous voulons être diverti.

Les Génération Y ne sont pas à la recherche d'un christianisme plus
cool, je l'ai dit. Nous sommes à la recherche d'un christianisme plus vrai, un christianisme plus authentique. Comme chaque génération avant la nôtre et chaque génération après, nous sommes à la recherche de Jésus - le même Jésus qui peut être trouvé dans les endroits étranges où il a toujours été trouvé: dans le pain, le vin, dans le baptême, dans la Parole, dans la souffrance, dans la communauté, et parmi les moindres de ce monde.

Pas besoin de bars à café ou de machines à fumée."
Dans les commentaires: "Je suis arrivé à la conclusion que le monde évangélique a deux socles: Le 'réveillisme' (l'appel à la volonté) et l'enthousiasme (la promesse de trouver Dieu en dehors de la Parole et des Sacrements). Ce sont des fléaux sur l'église et détruisent la foi de beaucoup. Jusqu'à ce que le monde évangélique retrouve une manière plus fidèle d'être Protestant sans ces éléments, je suis convaincu qu'il sera incapable de rivaliser dans l'ère de l'information d'aujourd'hui où les gens deviennent cyniques beaucoup plus rapidement."
Excellent quote, via iMonk for a change...
"I can’t provide the solutions church leaders are looking for, but I can articulate the questions that many in my generation are asking. I can translate some of their angst, some of their hope.

At least that’s what I tried to do when I was recently asked to explain to three thousand evangelical youth workers gathered together for a conference in Nashville, Tennessee, why millennials like me are leaving the church.

I told them we’re tired of the culture wars, tired of Christianity getting entangled with party politics and power. Millennials want to be know by what we’re for, I said, not just what we’re against. We don’t want to choose between science and religion or between our intellectual integrity and our faith. Instead, we long for our churches to be safe places to doubt, to ask questions, and to tell the truth, even when it’s uncomfortable. We want to talk about the tough stuff — biblical interpretation, religious pluralism, sexuality, racial reconciliation, and social justice — but without predetermined conclusions or simplistic answers. We want to bring our whole selves through the church doors, without leaving our hearts and minds behind, without wearing a mask.

I explained that when our gay, lesbian, bisexual, and transgender friends aren’t welcome at the table, then we don’t feel welcome either, and that not every young adult gets married or has children, so we need to stop building our churches around categories and start building them around people. And I told them that, contrary to popular belief, we can’t be won back with hipper worship bands, fancy coffee shops, or pastors who wear skinny jeans. We millennials have been advertised to our entire lives, so we can smell b.s. from a mile away. The church is the last place we want to be sold another product, the last place we want to be entertained.

Millennials aren’t looking for a
hipper Christianity, I said. We’re looking for a truer Christianity, a more authentic Christianity. Like every generation before ours and every generation after, we’re looking for Jesus — the same Jesus who can be found in the strange places he’s always been found: in bread, in wine, in baptism, in the Word, in suffering, in community, and among the least of these.

No coffee shops or fog machines required."
And in the comments: "I’ve come to believe that the defining ethos of Evangelicalism today is two-fold: Revivalism (the appeal to the will) and enthusiasm (the promise to find God apart from Word and Sacrament). These are a plague on the church and destroy the faith of many. Until Evangelicalism recovers a more faithful way to be Protestant apart from these, I am convinced that it will be unable to compete in today’s information age where people become cynical much more quickly." Ouch!.

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