Il y a 5 ans, j'ai joué pendant quelques mois avec Twitter, puis j'ai abandonné - il y avait trop de 'bruit' et pas assez de 'signal'.
Ces derniers mois j'ai recommencé, j'ai compris que le secret est d'éliminer sans pitié ceux qui ne font que de documenter toutes leurs activités, ou retransmettre des trucs sans intérêt.
Pour la plupart, quand j'envoie des 'tweets', c'est comme un genre de 'pense-bête' pour moi-même. Comme réfléchir à haute voix.
Etant donné que je suis en pleine réflexion sur le fait de plus 'compartementaliser' mon identité numérique, je ne vais pas mettre un lien ici sur mon compte Twitter, in inversément. Mais si vous êtes intéressés, envoyez moi un mail et je vous transmet le compte. Si vous ne me connaissez pas et vous suivez ce blog, alors bien le bonjour, et qu'est-ce qui vous emmène ici?
5 years ago I flirted with Twitter for a few months,
then gave up - the 'signal to noise ratio' was too low (too much gumph to read, not enough pearls).
Coming back to it recently, I realised that the secret was to be merciless in 'culling' the 'documenters of mundane' and the 'purveyors of inanity' from my list of 'followed' tweeters.
Mostly I use my own tweets as 'notes to myself'.
Given that I'm currently in deep thought about 'splitting' my online identity (to make the dots harder to join up), I'm not going to link directly from here to my Twitter account, nor vice versa. But if you're interested, send me a mail and I'll give your the account link. If you don't know me and you're reading my blog, well, Howdy and what brought you here?!