(You can choose or or both)

Wednesday, July 29, 2015

Oot on the boot ... Bateau


Dernièrement nous avons eu la chance d'être invité sur le lac avec des amis dans leur voilier.

Il n'y avait pas un pet de vent, donc on a dû allé avec le petit moteur, ce qui n'était pas plus mal! On s'est arrêté au large de Clarens, on a essayé de constituer un pique-nique à partir des restes de la veille et bouts d'apéros, on a discuté, on a fait une petite trempette dans l'eau froide, et on a passé un bon moment relax ensemble.

Recently we were very fortunate to be invited by friends to go out on the lake on a sailing boat.

As it happens, there wasn't enough wind to sail (it would have been pretty dangerous with kids scampering about too), so we put-put-putted along with the motor. Stopped in the middle and tried to make a picnic out of our meagre leftovers, chatted, went for a dip in the cooolld water, and generally had a very nice relaxed time.

Sunday, July 26, 2015

Multicultural ... Fête multiculturelle


Mi-juin, nous sommes allés à la fête multiculturelle à Vevey. C'était vraiment sympa. Ils ont réussi à créer une ambiance de kermesse villageoise en plein dans la ville.
Mid-June, we went to the 'Multicultural festival' in Vevey. It was wonderful. They managed to recreate the atmosphere of a village fete, even in the middle of town.


Il y avait des stands d'une quarantaine de pays différents, beaucoup de personnes habillées avec leurs costumes nationales. J'ai trop mangé.
There were stalls selling food from about forty different countries, many dressed in their traditional costumes. Even though I'd already had Spanish sardines, and Lebanese and Syrian, I couldn't resist a plate of Indian food too!


Il y avait aussi une scène avec des groupes de musique, puis des gens qui montraient les danses folkloriques de leur pays. Ici c'était la Chili, hôte d'honneur.
There was a state where various groups played, but also some countries put on displays of their traditional dances. This was Chile, who were the special guests this year.


On a tellement aimé qu'on est retourné deux jours de suite. Kalia s'est fait un petit copain Syrien pour qui elle a fait un dessin. Malheureusement il n'était pas là, mais elle est allée vers le stand syrien pour se renseigner et donner son dessin, malgré sa timidité. Elle a été largement recompensée de son courage, puisqu'ils ont été tellement touchés qu'elle a eu droit à un t-shirt, un bracelet, et du pain syrien grauitement. Papa fier.
We had such a good time that we went back the next day. Kalia had made friends with a little Syrian boy and drew a picture for him. Unfortunately he wasn't their, but in spite of her shyness, she went to the Syrian stall to ask after him. She was well rewarded for her bravery, as they were so touched she got a t-shirt, a bracelet and some free flat bread in return! #ProudFather

Thursday, July 23, 2015

In the great hall


Recently Internet Monk updated their site banner to a new image which is slightly more upbeat than the desolate urban wasteland which was used to evoke the state of the 'post-evangelical' nomad.

Over the years, the site has moved more towards being a place where people of different traditions and backgrounds share their opinions, hopes and experiences.

Somewhat like the notion of the great hall from C.S. Lewis's Mere Christianity.

Read the article explaining this here.
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Thursday, July 16, 2015

Theology for life? ... Théologie pour la vie?

Un effet secondaire de « vieillir » est de ne pas me souvenir si j’ai seulement pensé quelque chose, si je l’ai déjà écrit, ou si j’en ai déjà parlé à quelqu'un (et alors à qui?)

Donc, désolé si ceci est une rediffusion !

"Notre théologie a plus d'influence sur nos vies que sur notre salut."

J’ai trouvé ça dans mes notes d'il y a longtemps, ce qui est encourageant, d’un côté (j’étais inspiré à l’époque – même si c’était tout petit), et d’un autre côté c’est inquiétant – quelques jours en arrière j’y pensais toujours, ce qui signifie peut-être que je n’ai pas beaucoup progressé entre deux.

Je ne sais pas comment je suis tombé sur cette pensée, mais ça va quelque chose comme ceci: les protestants (ou les évangéliques, au moins) sont très contents d’eux-mêmes parce qu'ils ne sont pas comme ces catholiques qui croient au salut par les œuvres. Non, monsieur, nous croyons au salut par la foi, et la foi seule !

Mais, dans le petit périmètre de l'église d'élite où j’ai grandi cette compréhension biblique avait été transformée en quelque chose de légèrement différent. Parce que la foi c’est bien jolie, mais qu’est-ce que vous croyez? Et est-ce que vous croyez juste?

Très subtilement (dans le sens que je suis prêt à admettre que les gens qui prêchaient n’y avaient peut-être pas réfléchi plus loin), le message qui était transmis était qu’il fallait croire juste. Croire juste était vraiment très important. "Est-ce juste, mon frère?" était la question qui tuait. Et quand on demandait à un ancien ce qu’il pensait de tel-ou-tel auteur ou prédicateur, la question tacite était "où c’est qu’il a faux?"

Croire « juste » était donc une affaire très importante, et si ce n’était pas une question de vie ou de mort (ou de salut), ça y ressemblait vachement, parce que quelqu'un qui ne croyait pas juste était clairement ‘autre’, peut-être quand-même un chrétien, à la limite il irait au ciel, mais tsktsk tout de même.

Les prédications de dimanche matin c’était comme si on se gargarisait des moindres détails de la minutie de certains points obscurs d'une énorme tapisserie où personne ne se souvenait même ce que l'image dans son ensemble était censé représenter.

Vous pensez probablement que j’exagère. Pendant des années, Graham Kendrick était hors-limites en raison de la théologie douteuse de ses chansons. Des cantiques ont été « corrigées »: les paroles de « Jésus, nous te couronnons » ont été changés de « Viens établir ton trône » à « nous adorons autour de ton trône », parce que le trône de Jésus était déjà établi, n’est-ce pas ?

Mon esprit est passé par des agonies de conscience vers la vingtaine en essayant d'échapper à l’étreinte de « si tu crois différemment à ce que nous t‘avons appris, tu seras faux, tu seras à l'extérieur, tu auras tort. Nous sommes inspirés par l'Esprit de Dieu, de quel droit ferais-tu confiance à ta propre intelligence ? »*. Bien sûr, personne ne m'a jamais dit ces mots, mais c’est ce qui a été imprimé sur mon âme. Si seulement à ce moment-là j’avais pu avoir la « révélation » ci-dessus.

La théologie n'a rien à voir avec le fait d’être « sauvé » ou non.

Ou, si vous préférez, le niveau minimum de théologie nécessaire pour le salut est si ridiculement bas qu’elle ne mérite probablement pas le terme « théologie ».

Puis il dit, « Jésus, souviens-toi de moi quand tu viendras dans ton règne. »
Jésus lui répondit: « En vérité je te le dis, aujourd'hui tu seras avec moi dans le paradis. »


Maintenant, on pourrait faire valoir que ce criminel avait probablement déjà entendu des choses au sujet de Jésus, et il avait probablement une bonne éducation juive (quoique, peut-être pas si bon, compte tenu de comment il a fini!). Au moins assez bonne pour avoir une idée de base sur qui était Dieu. Il avait probablement une idée très sommaire de qui était le Messie (c’était le cas de tout le monde à l’époque – et encore maintenant), et il n'a certainement pas eu le temps de rafraîchir sa position sur le postmillénarisme.

Mais regardez. Jésus est Jésus dans toute sa grâce, même sur la croix. Ça me bouleverse.

Donc, mettrons-nous toute la théologie à la poubelle? Non, mais avant que quelqu'un commence à me « faire de la théologie », je veux savoir pourquoi. Pourquoi est-ce que c’est important pour eux? Pourquoi est-ce que ce serait important pour moi? Comme j’ai osé dire à la fin d’un culte l'autre jour: «Tout cela est bien beau, mais quelle différence ça fait si je crois l’un ou l’autre ?».

Je crois tout à fait que ça fait une différence, une différence ici, dans nos vies, mais je ne suis pas convaincu que les gens qui croient « le plus fort » sont toujours capables de vous dire quelle différence ça fait. Un peu comme les professeurs de mathématiques de collège qui peuvent vous driller sur les règles, mais qui sont incapables de vous dire à quoi ça peut servir.

Donc, la théologie, oui. Mais soyez clair sur votre «méta-théologie» en premier. Pourquoi est-ce important? Qu'est-ce que cela va changer dans votre vie? Dans la vie de votre communauté? Parce que si vous ne savez pas... à quoi ça sert? Ça ne va pas contribuer à votre salut.

Post-scriptum: Dans tout cela, mes parents ne m'ont jamais dit ce que je devais croire (ou peut-être qu'ils l’ont fait, mais je ne les ai pas écoute!). Je trouve ça incroyable, merveilleux, et j’en suis extrêmement reconnaissant.

* Je suis venu à la conclusion que si je ne pouvais pas croire que mon intelligence pourrait être inspirée par Dieu, il n'y avait pas plus de raison de croire que la leur pourrait l’être. Et inversement, si Dieu pouvait les inspirer, il pourrait aussi m’inspirer moi.
Another side-effect of 'getting old' is not remembering if I've only thought something, already written it, or already talked to someone about it (and who?)

So, sorry if this is a replay.

"Our theology has more influence on our lives than on our salvation."

I found this in my notes from a long time ago, which is sort of encouraging (I was having revelations way back then - albeit minor ones), and worrying - because I 'thought' it again recently, which means maybe I haven't progressed much in between.

I don't know how I stumbled upon this thought, but it runs something like this: Protestants (or Evangelicals, at least) are very pleased with themselves because they're not like those Catholics who believe in salvation by works. No sir, we believe in honest-to-God salvation by faith, and faith alone.

But, in the rather small perimeter of the elite church I grew up in, that biblical understanding had morphed into something slightly different. Because faith is all well and good, but what do you believe? And are you believing right?

Ever so subtly (i.e. I'm prepared to entertain the idea that the people preaching it hadn't thought it through so far), the message that was conveyed was that you better believe right. Believing right was really important. "Is that right, brother?" was the killer question. And when one inquired what an elder thought about such-and-such (from outside the church), the unspoken question was "what is he wrong about?"

Being "right" was thus a pretty big deal, and if it wasn't a matter of life or death (or salvation), it  seemed like it, because anyone who wasn't "right" was clearly beyond the pale, possibly still a Christian, maybe they would be going to heaven, but tut-tut all the same.

Sunday mornings just felt like fiddling on about tiniest details of the minutiae of some obscure point in an enormous tapestry where no-one even remembered what the picture actually was.

You probably think I'm exaggerating. For years Graham Kendrick was off-limits because of dodgy theology in his songs. And choruses were 'corrected' too: the lyrics of "Jesus, we enthrone you" were changed from "as we worship, build your throne" to "as we worship round your throne", because Jesus' throne was already built, don't-ya-know.

I went through agonies in my early twenties when my mind was doing me in, trying to escape from the stranglehold of "if you believe differently to what we've taught you, you will be other, you will be outside, you will be wrong, we are inspired by God's Holy Spirit, what right do you have to trust your puny mind?"*. Of course, no-one ever said those words to me, but that's what was imprinted on my soul. I wish that at that time I could have had this 'revelation' above.

Theology has nothing to do with being 'saved' or not.

Or, if you prefer, the minimum level of theology necessary for salvation is so ridiculously low as to probably not merit the term 'theology'.

Then he said, "Jesus, remember me when you come into your kingdom."
Jesus answered him, "Truly I tell you, today you will be with me in paradise."


(Note that I deliberately didn't give you that in the King James version. Don't get me started...)

Now I guess, you could argue that this criminal had probably heard stuff about Jesus, and he probably had a good Jewish upbringing (well, maybe not so good, given how he turned out), at least enough to have a basic idea about who God was. He probably had a very sketchy idea of who the Messiah was (they all did, we mostly still do!), and he certainly didn't have time to brush up on his post-millennialism.

But look at it. Jesus being Jesus, even on the cross. It blows me away.

So, ditch all that theology? No. But before anyone starts 'doing theology' at me, I want to know why. Why is it important for them? Why should it be important to me? As I dared to say at the end of a preach the other day: "that's all very nice, but what difference does it make which one I believe?"

I totally do believe that it makes a difference, a difference down here in our lives, but I'm not convinced that the people who believe the 'hardest' are always capable of telling you what difference it makes. A bit like middle school maths teachers who can drill the rules into you, but are incapable of telling you what-on-earth use they will ever be.

So theology, yes. But get your 'meta-theology' straight first. Why is it important? What difference will it make in your life? In the life of your community? Because if you don't know... what's the point? It ain't gonna get you saved.

Postscriptum: In all this, my parents never once told me what I should believe (or maybe they did but I didn't listen!). I find that unbelievable, amazing, and I'm incredibly grateful.

* I eventually came to the conclusion that if I couldn't trust that my puny mind could be God-inspired, there was no reason to trust that theirs could. And inversely, if God could inspire them, he could also inspire me.

Tuesday, July 14, 2015

Just in case you're wondering...

Désolé, encore du 'anglais only'.

More iMonk propaganda, please forgive me!

'Chaplain Mike' (who is a real-life chaplain, as it happens) has started an interesting new series on what he believes. It comes off the back of a discussion about what 'post-evangelical' might mean, and why it isn't the same as 'ex-evangelical' or 'anti-evangelical'.

Basically he's working through the key 'markers' of what 'Evangelical' means to him, and sorting out the bits he retains and treasures, and the bits he's distanced himself from.

It's very interesting.

In case you're wondering... (reverse chronological order, i.e. read up from the bottom)

His article on holiness touched me in particular, as it was kind of a big deal in my formative years.
"The exact forms of pietism vary from church to church and group to group within evangelicalism. But there is an overall point to it, at least in how I have witnessed it within various entities: pietism teaches that one can be an “extraordinary” Christian, above and beyond those who are “ordinary” Christians."

"Pietism puts the burden of my relationship with God on my shoulders and refuses to rest in the objective truth of God’s grace and the objective means of grace offered me in the gospel."

Saturday, July 11, 2015

Blast from the past ... Regard en arrière


Je n'ai jamais été tellement porté sur le côté 'nostalgie', mais avec l'âge qui avance, on quand même tendance à avoir quelques regards en plus dans le retro.

Pendant mes études, et encore quelques années après - alors que je ne trouvais pas de travail dans ma branche (et n'était franchement pas certain de vouloir trouver) - j'ai bossé sur des chantiers. Mes bottes (qui étaient déjà second-pied) ont été maintes fois rafistolées (avec des vis, scotch, colle), sont restées chez mes parents pour devenir des pots dans le jardin.
I've never been much into nostalgia, but I have to admit that with the see-saw of life 'sawing' into the second half, I have been looking in the rear-view mirror slightly more often.

During uni holidays, and for a few years after - when I hadn't yet found a job in my chosen profession (and frankly wasn't sure I'd chosen the right one) - I worked as a builder. My boots (which were already second-foot) were regularly fixed up with screws, tape, glue, whatever (I also painted them white to stop them getting too hot in the sun). And after I 'retired' they ended up being re-purposed into plant pots.


Une dame 'artiste' qui a logé un temps chez mes parents m'a pris comme modèle pour un travail de sculpture qu'elle devait effectuer. Je crois que quelqu'un s'est amusé à colorier les yeux depuis, mais mon effigie se trouve aussi dans le jardin, où cette jeune grive est venue se poser.
My parents also had an 'artist' lodger for a while, who decided to use me as a model for her sculpture project. I think someone painted the rather scary eyes in since. Anyway, my 'bust' has also ended up in the garden where this young thrust stopped for a rest.


Nourrie par sa mère, elle n'est pas partie avant de déposer sa carte de visite (pas visible sur la photo).
Mummy thrush feeding young thrush, who left a calling card (not visible in this photo) before flying off again.

Wednesday, July 08, 2015

Birth of a capitalist ... La naissance d'un capitaliste

Une nouvelle série d'articles (à moins que j'oublies entre deux) au sujet de ma transition vers une vision un poil plus capitaliste du monde.

Je ne sais pas si c'est l'âge, le fait d'habiter en Suisse depuis trop lontemps, parce que je lis les 'mauvais' sources d'information ou tout simplement parce que j'ai commencé à m'intéresser un peu plus au monde économique, mais je me retrouve un peu plus 'capitaliste' qu'auparavant (pour autant que je me posais la question avant - c'est-à-dire pas beaucoup).

Je trouvais que ce serait intéressant (pour moi, au moins) de passer en revue certains trucs qui m'ont fait réfléchir ces derniers mois.

J'ai une connaissance assez haut placé (c-à-d tout en haut) d'une grosse entreprise, qui se dit "capitaliste socialiste". Je trouve que c'est intéressant, car ça oblige à s'arrêter un instant pour se demander qu'est-ce que ça peut signifier.

Une chose que j'ai commencé à comprendre dernièrement c'est que les 'capitalistes de droite' ne sont pas forcément les salopards avides qu'on nous fait croire. La pensée courante est que ceux qui sont de droite veulent simplement prendre un maximum d'argent aux pauvres. Alors que les (toujours) justes de gauche veulent redistribuer l'argent (pas forcément le leur) aux pauvres.

Mais, j'ai compris que c'est plus une question de moyens que de fins. J'ai lu plusieurs 'libéraux' adeptes de l'économie de marché qui semblent avoir les mêmes buts que la gauche: sortir les pauvres de la misère. Mais ils croient que le marché le ferait mieux que l'intervention de l'état. Comme l'un a ironisé: "Nous destestons tellement les pauvres que nous voulons les transformer en riches".
New series (unless I forget), which I was thinking of titling 'Birth of a capitalist b***d', as that is usual suffix, but don't want to upset the faint of heart.

Dunno if it's age, living in Swissland too long, reading the 'wrong kind' of sources, or just starting to take an interest in things economical, but I find myself becoming a bit more 'capitalist' than I was previously (to the extent that I actually ever thought about it previously - which was not much).

Thought it would be interesting (to me at least), to work through a few of the things that have been making me think over the past months.

I have an acquaintance who is very highly placed (i.e. at the top) in a rather large company, who says that he's a "capitalist socialist". I think this is an interesting term, firstly because it makes you stop and wonder whatever that might mean.

One thing that has slowly dawned on me recently is that 'right-wing capitalists' aren't necessarily the rapacious b***ds (sorry) that they're presented as. The popular meme is that right-wing capitalists are just out to extort as much money from poor people as they can. Whereas the (obviously) virtuous left want to redistribute money (though not necessarily their own) to the poor and needy.

Whereas, the difference is more about means than ends. Quite a few 'right-wing' free marketeers I have read seem to have similar aims: lifting people out of poverty. They just believe that the market is a better way to do it. As one said: "We hate poor people so much that we're trying to make them rich".

Sunday, July 05, 2015

Hope ... Espoir

Je parle souvent du site Internet Monk ici, je suis vraiment navré que je n'ai pas toujours le temps de traduire les pensées qui m'inspirent. Ici une fois de plus, je ne fais que renvoyer à des articles qui m'ont touché ou fait réfléchir. Si vous comprenez un peu l'anglais, ou supporter de passer par Google Translate, je vous encourage à aller y jeter un coup d'oeil. Et si vous connaissez des sites francophones d'une même qualité, merci de me le faire savoir!

I think that I plug Internet Monk here often enough to have already apologised for doing so.

But it is really my number one on-line resource for thought-provoking, inspiring, faith-related content. They give me hope, because so often the 'hard' questions in the Christian life get pushed aside, with non-answers about 'just believing', or unsatisfying-bending-over-backwards 'explanations'. In the pages of IMonk, you get to witness discussions unfolding around hard subjects, with different viewpoints explored, compared, examined, and all in an atmosphere of faith and respect.

So, I implore you, beseech you, to at least take the time to click through and see if you get 'hooked' too:

Evolution, Genesis

An five-part series working through a book about what Genesis might have meant in the context in which it was written, and how that could influence our own approach to its message, and how we interact with evolution:
http://www.internetmonk.com/archive/56077
http://www.internetmonk.com/archive/56125
http://www.internetmonk.com/archive/56150
http://www.internetmonk.com/archive/56178
http://www.internetmonk.com/archive/56306

Another post which touches on the idea that the 'in the image of God' of humanity is precisely the act of God lifting us out of the blind determinism of evolution, putting us - with our consciousness of self - above the 'flow', and calling us also to tend all of creation in this way: Evolution's Ultimate Wisdom


Theodicy, (if God, why suffering?)

On Theodicy
The Bloody God and the Bleeding God

As I have also previously said, the comments are often as instructive (if not more) than the articles. And it was via the comments that I discovered these two amazing articles:

Shell game (facing up to the violence in the Bible)
Why did God command Abraham to kill Isaac?

The Bible, a necessarily human book

Three interrelated models for Bible readers today.
Another time I must tell you how I go about keeping up with all these sites...

Wednesday, July 01, 2015

Italia!


Photo de famille historique.
Historical family photo.


Kalia a dansé jusqu'à tôt avec ses cousines.
Kalia bopping late into the morning with her cousins.


Il y a eu une lâché de lanternes, comme dans le film Raiponce.
There were Rapunzel-style lanterns.


(On a regardé le film Raiponce il y a quelques jours, la dernière scène où elle est réunie avec ses parents me fait toujours pleurer).
(We re-watched Rapunzel the other day. The final reunion scene always brings tears to my eyes).


Pour la première fois, j'ai eu mon anniversaire en Italie, en italien.
And I had my birthday in Italy, in Italian, for the first time.