Non, ce n'est pas de Roberto Benigni que je veux parler.
Il y a un autre film, bien plus ancien, que j'ai eu le plaisir de regarder (même deux fois!) dernièrement.
C'est l'histoire d'un homme qui a donné sa vie pour les autres, qui a vu ses rêves et ambitions partir en fumée, et qui arrive au bout du rouleau dans une impasse où il ne sait pas comment s'en sortir.
Alors il se dit que le monde serait mieux s'il n'avait jamais existé.
Un ange lui est envoyé du ciel pour lui montrer à quoi ressemblerait son monde, s'il n'avait effectivement pas été née.
C'est un très beau film, la conclusion est délicieuse.
Et le dernier mot revient à l'ange "Rappeles-toi, aucun homme est un râté s'il a des amis".
Il y a un autre film, bien plus ancien, que j'ai eu le plaisir de regarder (même deux fois!) dernièrement.
C'est l'histoire d'un homme qui a donné sa vie pour les autres, qui a vu ses rêves et ambitions partir en fumée, et qui arrive au bout du rouleau dans une impasse où il ne sait pas comment s'en sortir.
Alors il se dit que le monde serait mieux s'il n'avait jamais existé.
Un ange lui est envoyé du ciel pour lui montrer à quoi ressemblerait son monde, s'il n'avait effectivement pas été née.
C'est un très beau film, la conclusion est délicieuse.
Et le dernier mot revient à l'ange "Rappeles-toi, aucun homme est un râté s'il a des amis".
No, not 'La vita e bella' by Robert Benigni, I'm talking about a much older film.
It's the story of George Bailey, who has sacrificed his life, his dreams and ambitions for the sake of others, and who comes up against a brick wall.
Unable to see anyway out of his problems, he figures that everyone would be better off if he died, or if he had never existed.
But an angel comes down to show him what his world would be like if he really had never existed.
It's a beautiful film, the ending is delicious. I watched the film twice, which doesn't often happen.
The last word goes to the angel: "Remember no man is a failure who has friends."
How did I discover the film? Here!
It's the story of George Bailey, who has sacrificed his life, his dreams and ambitions for the sake of others, and who comes up against a brick wall.
Unable to see anyway out of his problems, he figures that everyone would be better off if he died, or if he had never existed.
But an angel comes down to show him what his world would be like if he really had never existed.
It's a beautiful film, the ending is delicious. I watched the film twice, which doesn't often happen.
The last word goes to the angel: "Remember no man is a failure who has friends."
How did I discover the film? Here!
1 comment yet :
Regularly shown at Christmas on American TV. Probably considered too sentimental for UK tastes. But we could use some good news films like this.
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